Ton
âme a élu domicile
dans ce
moment
de ta
jeunesse
où
tu étais
encor
gracile
et
te
brûlais
avec ivresse ;
dissociant
ta
vie en
deux temps :
celui
de l’érosion du
corps ;
celui
de
l’esprit
n’acceptant
pas
l’aliénation
d’un tel
sort.
Et
depuis, la rivalité
de ce couple mal assorti
n’a cessé de
te
déliter ;
ta
moitié fraîche à
l’intérieur
s’éloigner
de
l’autre
partie
se desséchant
à l’extérieur !
|
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire