Sur
le chemin mille fois parcouru,
parmi
les accidents,
les
préjudices, tu
traques tête
basse
les
indices qui
débusqueraient
une idée
recrûe ;
tu
fouilles
sous les replis advenus, sur les traces d’antécédents
auspices dont
te souviens encor des
vents
propices te
ballottant
par
des
mers
inconnues,
vers
cette
porte de l’inspiration claustrant
à double tour
le souffle d’air indispensable
à ta respiration ;
qui
ne
cède
guère
à
l’anhélation sifflante
de
tes
suçoirs
à éther qu’au
dernier spasme
de
suffocation.
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Tu me diras où tu les achètes...tes suçoirs à éther ;) Tu m'as l'air tout rempli d'ombre mon ami: tourne-toi vers la lumière!!
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