Dès renouveau matin les nubiles
se
dévergondent, à leurs persiennes
effeuillent leurs voluptés
pubiennes
avec désinvolture – jubilent !
Mon
regard alors main audacieuse
caresse les fruits ainsi
offerts,
descend monte à la tête dans l’air
lourd, suit
la chaleur des aguicheuses ;
enfin s’enhardit sous
les buissons
pourlécher les nectars polissons
scintillant
des corolles humides.
Non, ivres d’essences
nymphomanes,
vers l’efflorescence des organes
mes yeux
baissés n’ont rien de timide !
|
Rose qui ne demande que plus à rougir dans la blanche tension. Délivrance - J'ouïe.
RépondreSupprimer//// Beau délice à malice, David !!!!
Merci S. Les délices printaniers sont toujours non seulement beaux à mater, mais surtout très inspirant ;-)*
Supprimer