Pierre
après
pierre
de mes faiblesses,
scellées au ciment
des fortunes,
les
années sournoises
dans
ma tête
ont
monté
hauts les murs de
leur
prison ;
d’où
mon âme aujourd’hui
avec envie
lorgne
par
les
barreaux
agrippés
sur
la
vaste utopie
du
dehors,
s’y
revoyant un
souffle courir
libre,
en
l’enfance
sans
interdit,
quand
tout semblait
possible,
et,
le
plus beau, s’avérait l’être
pour
l’innocent
cerveau d’alors,
ignorant
franchir
des
frontières !
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