Proclame haut sa promenade
L’arche de béton et de verre
Qui prend la main de deux façades
Pour sa ronde entre ciel et terre
Mais ne dévoile pas surtout
N’être qu’un corridor sans danse
De poupées nues rangées debout
Le long de sa piste silence
Où tandis que les corps s’enlisent
En procession qui s’éternise
Dans ce pont des soupirs absents
Sur la peau d’artefacts sans âge
Roulent des gouttes d’éclairage
À la place d’un mauvais sang
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