Ta réserve de frais gâtée, Tu racoles au bal des fichus, Espérant qu’en ton sein déchu Luise encore une voie lactée.
T’escorte à ces limbes où tu plonges, Où bientôt il fera si sombre Et t’étioleras en décombres Au teint cireux de vieille éponge.
Un temps hanteront mes pensées Tes soupirs, là pris en la gangue Qui les serre au bout de ma langue ;
Puis, ton souvenir s’effilant, J’irai, mine de rien, presser La jeune saison s’installant ! |
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