Froisse ma main ta lisse robe, Des plis goûtant le galbe ; Entre mes doigts te lasse, Qui cornent, roulent, plissent, Crispent ta soie nacrée, Si débordant de mes secrets, Que trop souvent je devance L’aube de ta séance, Rêvant coucher mes insomnies, Mon ennui, mes utopies, Au générique de ton clip.
Et quand parfois te défripe De mon souffle brûlant, Bord après l’autre, à peine osant, Croyant en l’occasion De te confier mes illusions, – Plus blanche encore t’opiniâtres Que mes nuits, vaines à te soumettre ! |
Finalement la main gauche se débrouille quand même avec le clavier.
RépondreSupprimerDes vers à plaquer contre le sens de l'insoumission.
Plusieurs champs possibles pour cette page, peux-être la cause de l'Ecueil à accueillir en tant que tel...
Superbe image, David.
Bises&Souffles.
Merci L.S. je suis d'autant plus touché que tu aies pris la peine de laisser ta belle trace ici, que je sais ta difficulté à le faire !
SupprimerBaise-mains (à la droite pour qu'elle soit vite libérée et à la gauche pour l’intérim parfait)
:-)