Me consume à cette flamme Qui n’éclaire aucun désir Ne faisant que recouvrir De cendres mes épigrammes
J’inhale l’âcre atmosphère De mes nuits rougies à blanc Dont chaque instant encre au sang Mes illusions délétères
Conflagration qui me tord Laissant mon âme en fumée Pleurer l’espoir inhumé
Où visqueux grouillent encore Parmi les tièdes décombres D’horribles vers qui m’encombrent |
Descendre, descendre
RépondreSupprimerQuand de cendres
On voudrait briller
De lueurs sombres.
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Songe qui prend au ventre
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Puis ce poème d' Emily Dickinson http://liebemily.blogspot.fr/2012/06/poeme-337.html qui vient comme la main qui se porte à notre regard.
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Bises&Souffles David.
Tous ces mots magnifiques...
SupprimerMe touchent
M'accouchent
Merci L.S. :-)*