Les eaux lisses sont invisibles,
à
leur place un reflet paresse
en chaque gemme enchanteresse
d’un
mimétisme marcescible.
Les arbres frissonnants
épanchent
quelques ondées de papillons
allant conclure en
tourbillon
leur bref périple d’avalanche.
Là-haut,
gris et bleus métalliques
coulent la chape magnétique
d’une
voûte d’acier trempé.
La nature se pelotonne
sous
la pelisse de l’automne ;
et je reste dehors, vampé !
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La photo est magnifique et le texte à l'avenant. Alors toi aussi tu aussi tu aimes l'automne? Sa lumière dorée, ses parfums, sa tiédeur, sa moiteur. C'est très érotique l'automne.
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