Chacun au sommet de la pile trouve
sa feuille double ouverte où épancher l’encre diserte d’une
oraison indélébile.
Chacun prend place à son pupitre dans
le silence de la classe, inquiet
déjà du
temps qui passe, si
bref pour autant de chapitres.
Chacun cherche une solution au Sahara de sa vie blanche où
s’évapore l’invention.
Mais nul n’ose par la
fenêtre capter dans le ciel l’avalanche des nuages en train
d’émettre.
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Je te reçois cinq sur cinq. Très beau, la dernière strophe me donne de l'air. Pur.
RépondreSupprimerEt la photo: superbe! J'adore.
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