Merci L.S. pour ton commentaire si pertinent, une fois de plus :-) Encore que pour l'arc en ciel j'ai quelques doutes ;-) Bon après-midi à toi également. Bises.
J'avais bien compris L.S. :-) Certes le blanc et, dans une moindre mesure, le noir (l'absence de toute lumière) sont latents dans l'arc-en-ciel, mais latents seulement, autrement dit invisibles. Et l'arc-en-ciel n'aide à voir ni le noir ni le blanc ni leur complémentarité. En revanche, pas de jour sans la nuit et réciproquement. Enfin c'est mon avis :-) Mais il est possible que je n'ai pas tout saisi. En fin de journée j'ai le cerveau lent :-D
Sans l'obscurité que serait la lumière sinon une blessure. Saurions-nous apprécier le doux s'il n'y avait l'amertume, l'amour s'il n'y avait sa jumelle la haine ou sa triste cousine, l'indifférence.
Encore un bien joli texte, à lire en abîme pour en débusquer les secrets trèsors.
Voir un arc en ciel peux-être ?
RépondreSupprimerUn poème double dans le trouble du miroir éteint.
//// Une bonne après-midi tout en souffle.
Merci L.S. pour ton commentaire si pertinent, une fois de plus :-) Encore que pour l'arc en ciel j'ai quelques doutes ;-)
SupprimerBon après-midi à toi également. Bises.
Je pensais au propriétés physique des ondes lumineuses de l'arc en ciel.
SupprimerJ'avais bien compris L.S. :-) Certes le blanc et, dans une moindre mesure, le noir (l'absence de toute lumière) sont latents dans l'arc-en-ciel, mais latents seulement, autrement dit invisibles. Et l'arc-en-ciel n'aide à voir ni le noir ni le blanc ni leur complémentarité. En revanche, pas de jour sans la nuit et réciproquement. Enfin c'est mon avis :-) Mais il est possible que je n'ai pas tout saisi. En fin de journée j'ai le cerveau lent :-D
SupprimerC'était pour une possibilité nouvelle quand le blanc se manque du noir et inversement ;-)
RépondreSupprimerSans l'obscurité que serait la lumière sinon une blessure. Saurions-nous apprécier le doux s'il n'y avait l'amertume, l'amour s'il n'y avait sa jumelle la haine ou sa triste cousine, l'indifférence.
RépondreSupprimerEncore un bien joli texte, à lire en abîme pour en débusquer les secrets trèsors.
Merci encore Désirée pour tes mots brillants dans l'obscurité :-) Dans l'abîme : tout est là !
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