Langue de lave incandescente S’immisce et goûte les coulisses D’une forêt géométrique ; S’insinue en la folle pente Où se fissure le flanc lisse Tombant aux grottes séraphiques.
Jusqu’à l’ivresse des secousses Et du volcan ne tenant plus Qui craque, explose et se répand En larmes de feu, sur la mousse Épuisée des creux dissolus ; Son râle au loin se dissipant… |
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