Survivre au blanc.
Grelottant sous rares haillons ; en résistance au souffle glacial qui ne les a pas arrachés puis dispersés dans l’inconnu ; par aveuglement peut-être.
Survivre au noir.
Tenant à peine debout ; sur frêles os ; désormais si épuisés qu’ils ne supportent pas même l’ombre amaigrie de piètres fleurs ; et se brisent ! |
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